Quel sera le plus bel arbre de l’année?

Comme chaque année depuis 2011, l’office national des forêts et Terre sauvage s’associent pour le concours de l’arbre de l’année. « C’est une envie de sensibiliser le grand public. Souvent, nous n’avons pas conscience de leur valeur, c’est essentiellement pour montrer qu’on est que de passage tandis que les arbres sont là pour plusieurs centaines d’années », explique Pauline Cecotti, la coordinatrice de l’événement.

Tout le monde peut proposer un arbre, que ce soit une personne mais aussi une famille, une école, une ville, une association, une entreprise. Sur les 150 candidats, ils ne sont plus que 15 en compétition, un par région. « Ils sont sélectionnés sur leurs caractéristiques esthétiques et historiques mais aussi en fonction du lien qui unit les unit à ceux qui les présentent au concours », détaille Pauline Cecotti.

Le vote est ouvert jusqu’au 4 janvier prochain.

Parmi les arbres encore en lice, le grand chêne de Faverolles en Eure-et-Loir, âgé de 700 ans.

Autre vieux spécimen, le platane de Guérigny dans la Nièvre, planté en 1740. Il a vécu toute l'histoire de l'Arsenal de la marine Royale, impériale puis nationale implantée dans la commune.

Le cèdre du Liban de Bournand dans la Vienne comporte huit troncs en forme de U.

Enfin, on retrouve aussi le platane de Fontenay-le-Comte en Vendée parmi les 15 arbres en compétition.